La post-fouille : la face cachée du travail de l’archéologue - Le CReAAH est en pleine exploitation du matériel archéologique prélevé cet été sur le site de Beg-er-Vil (Quiberon, Morbihan). En archéologie, on appelle ce travail la post-fouille. C’est un ensemble d’activités, en laboratoire, d’identification et d’inventaire du mobilier recueilli au moment de la fouille : souvent ingrat, laborieux, méticuleux, très chronophage, mais indispensable à l’avancée des connaissances du site, en l’occurrence un amas coquillier du Mésolithique. Ce « travail de fourmis » est réalisé par des bénévoles, souvent des étudiants en archéologie, sous la direction de Catherine Dupont (CReAAH).
La post-fouille : la face cachée du travail de l’archéologue. De la plage... au labo - Le CReAAH est en pleine exploitation du matériel archéologique prélevé pendant six ans sur le site de Beg-er-Vil (Quiberon, Morbihan). En archéologie, on appelle ce travail la post-fouille. C’est un ensemble d’activités, en laboratoire, d’identification et d’inventaire du mobilier recueilli au moment de la fouille : souvent ingrat, laborieux, méticuleux, très chronophage, mais indispensable à l’avancée des connaissances du site, en l’occurrence un amas coquillier du Mésolithique. Ce « travail de fourmis » est réalisé par des bénévoles, souvent des étudiants en archéologie, sous la direction de Catherine Dupont (CReAAH).