L'eau à découvert - CNRS Editions vient de publier en novembre 2015 un ouvrage collectif intitulé "L'eau à découvert" sous la direction de Rémy Mosseri , Catherine Jeandel , Agathe Euzen.
Colloque HydroEco'2013 - HYDROECO'2013 : 4th International Multidisciplinary Conference on Hydrology and Ecology: Emerging Patterns, Breakthroughs and Challenges
2 AIS de Rennes Métropole - Rennes Métropole a attribué douze allocations d’installation scientifique à des chercheurs venus travailler dans les laboratoires rennais. Dont 2 pour des chercheurs de l'OSUR : Christophe Piscart et Hervé Colinet, tous les deux chargés de recherche CNRS au labo ECOBIO de l'OSUR.
Journées interdisciplinaires en environnement : les liens Rennes-Québec se renforcent - Neuf chercheurs en sciences de l'environnement (universités de Rennes, CNRS et Agrocampus Ouest) et 2 doctorants se sont rendus entre le 3 et le 5 avril 2017 à l'Université de Québec à Montréal (UQAM) pour y rencontrer nos homologues des universités québécoises (UQAM, UQAT, UQAC, INRS) au cours des "Journées Interdisciplinaires en Sciences de l'Environnement" initiées par l'Institut des Sciences de l'Environnement (ISE) de l'UQAM.
Les toiles du musée de géologie sous surveillance - Depuis le 25 juin 2018, une étude en conservation préventive des toiles de Mathurin Méheut et d’Yvonne Jean-Haffen, qui ornent les murs du musée et des salles de cours du bâtiment 5 du campus de Beaulieu de l’Université de Rennes 1, est en cours. Entre le 25 et le 29 juin, les toiles ont été descendues avec l'aide du personnel universitaire et de la DRIM, puis étudiées par une équipe de restauratrices. Les toiles Méheut et Jean-Haffen vont donc faire l’objet d’une surveillance accrue pendant un an. Début juillet, dans chaque salle, un ou deux thermohygromètres seront installés pour faire un suivi continu des variations de température et d'humidité dans le bâtiment. Le rendu de l'étude est prévu pour septembre-octobre 2019.
Deux allocations d'installation scientifique 2019 de Rennes Métropole pour l'OSUR - Rennes Métropole vient annoncer fin avril les lauréats 2019 des allocations d'installation scientifique (AIS) : 2 OSURiens font partie des heureux élus ! Les AIS sont des aides de Rennes Métropole visant à faciliter l'accueil, l'installation et le démarrage des travaux de recherche de chercheurs récemment arrivés sur le territoire métropolitain. L'objectif est de faire de Rennes un site universitaire majeur, accueillant et attractif pour des chercheurs de haut niveau. Ce dispositif s'adresse aux chercheurs recrutés depuis moins de trois ans dans un établissement d'enseignement supérieur et de recherche localisé sur le territoire de Rennes Métropole. Un appel à candidatures est publié chaque année.
La Vilaine, en plein… moissonnage ! - Depuis le 26 août, un drôle d’engin flottant - une sorte de tracteur amphibie... - se déplace sur la Vilaine au niveau de la plaine de Baud, entre Rennes et Cesson-Sévigné, autour de la base nautique. Un « bateau-tracteur » fauche, ou plutôt faucarde la végétation qui couvre désormais la surface de l’eau : depuis plusieurs mois, une espèce de plante invasive aquatique, l’Égérie dense, prolifère sur le fleuve. Présente depuis plusieurs années, elle est particulièrement visible cette été. Gabrielle Thiébaut (ECOBIO), en charge notamment du projet européen MADMACS, qui à comprendre le rôle des macrophytes dans le fonctionnement des écosystèmes aquatiques, nous éclaire sur cette question.
Rendre visible le monde des eaux souterraines - La vidéo "Rendre visible le monde des eaux souterraines" a été réalisée en 2019 dans le cadre de l'appel à projets des 80 ans du CNRS. Elle illustre de façon simple et pédagogique les recherches menées à l'OSUR par le laboratoire Géosciences Rennes (CNRS/université de Rennes 1) : c'est un état de l'art de la recherche scientifique en matière d'observation et d'imagerie du sous-sol, et plus particulièrement de la ressource en eau. Il s'agit de « rendre visible l'invisible », de présenter plus globalement la problématique du cycle de l'eau, de la vulnérabilité de la ressource, au regard notamment des changements globaux, en centrant plus particulièrement sur les particularités de la Bretagne. Camille Bouchez (OSUR/Géosciences Rennes) a assurée la coordination du projet avec Lucie Landais (stagiaire de licence 3 Environnement à l'université de Rennes 1) pour la conception graphique et Arnaud Mansat pour le montage audiovisuel.
Shanghai 2020 : la recherche rennaise consolide son positionnement mondial sur la ressource en eau - Le classement par thématiques de l’Université Jiao Tong de Shanghai a été rendu public début juillet. Le palmarès 2020 confirme la bonne tenue de l’enseignement supérieur en France avec la présence à un haut niveau d’une trentaine d’établissements français. Le célèvre ARWU (Academic Ranking of World Universities) dit « classement de Shanghai », est certainement le palmarès international le plus médiatisé... et contesté également. Voici donc la publication des classements thématiques qui mesurent, par spécialités académiques, les performances des établissements d’enseignement supérieur dans le monde. Avec la recherche "Ressources en eau" ("Water Resources"), l'Université de Rennes 1 tient une de ses pépites scientifiques !
Les M2 GEOMORE et M2 STVU en stage dans les Pyrénées - Ce stage de terrain a concerné 30 étudiant-e-s au total avec 17 inscrits en Master 2 GEOMORE (géologie, modélisation et exploration des ressources) et 13 en M2 SVTU (sciences de la vie, de la terre et de l'univers, qui prépare au concours de l’Agrégation). Ce stage a été organisé par Thierry Nalpas assisté de Mathieu Martinez et Marc Poujol, enseignants-chercheurs à l'université de Rennes 1 au labo Géosciences Rennes.
Le “Breizh Glace” est sur le départ : l'expédition Rennes-Pôle Nord est aussi un défi scientifique - Le 24 avril 2021, Vincent Grison quittera Rennes avec le “Breizh Glace”, son bateau de 75 kilos, pour atteindre le Pôle Nord, sans aide motorisée. Des chercheurs du laboratoire LETG-Rennes et des étudiantes de l’Université Rennes 2 du master TELENVI l’aideront à se frayer un chemin à travers la banquise grâce à un traitement des images satellites permettant de caractériser les glaces.